mercredi 25 septembre 2013

look de septembre




















En ce moment j'ai besoin de tenues confortables pour être libre de mes mouvements (c'est du sport deux bébés !) sans qu'elles soient trop négligées non plus pour le travail.
Celle de Septembre donc, manque certes d'un peu d'élégance (à mon goût) mais je m'y trouve bien et c'est le principal !

- legging et t-shirt : Promod
- bottines : Benetton
- bracelet : Caroll










mardi 24 septembre 2013

3 conseils pour le sommeil de bébé


 Lorsque j'ai découvert l'univers des blogs, particulièrement ceux dont le thème était la maternité et les enfants, ce qui m'a tout de suite plu c'était le fait de pouvoir profiter de l'expérience d'autres mamans, qui avaient elles aussi vécu ce qui faisait mon quotidien depuis la naissance de mes filles.
Il y a des articles que j'aurai pu écrire tellement ils m'ont touchée de près et me correspondaient. Ou plutôt que j'aurai aimé écrire car je suis loin d'avoir le talent de certaines blogueuses ! En tous cas ça m'a donné envie de créer mon blog, j'y ai pensé, j'en ai parlé, sans jamais vraiment sauter le pas ; mes articles seraient-ils assez intéressants ? De quoi allai-je parler ? Qu'est ce que je pouvais apporter de nouveau ?
Sincèrement pas grand chose : je n'ai pas de don particulier, pas de prédisposition à quoi que ce soit....
Mais l'envie, si présente depuis des années, m'a fait me lancer.
Alors certes je n'ai rien d'exceptionnel à transmettre, mais si il y a bien une chose que je sais faire, c'est m'occuper des enfants, ou du moins de mes enfants. Et leur sommeil est mon point fort : à quinze jours de vie mes filles "faisaient leurs nuits".
Pour ma première j'aurai pu penser que c'était un coup de chance, que j'étais tombée sur le super bébé, qui à une semaine, avait déjà tout compris à la vie. Mais il en fut de même pour la deuxième, en quelques jours le rythme était calé ! Et c'est en parlant avec la pédiatre que je me suis dit qu'en effet, j'avais peut être adopté instinctivement la bonne technique. C'est pourquoi je me permets de vous donner quelques conseils quand au bon déroulement des nuits et des siestes de bébé.

J'ai remarqué à la maternité, pour mes deux accouchements, que les sages femmes insistaient beaucoup sur le fait d'espacer les biberons d'au moins deux heures, pour le premier jour de vie de bébé puis de trois heures dès le deuxième. Je me souviens même m'être fait gronder une fois parce que je n'avais pas attendu, voulant soulager mon bébé qui hurlait de douleur tellement la faim la tiraillait. J'étais agacée par ces sages femmes qui venaient tout contrôler, me sentant parfois comme un élève qui a mal fait ses devoirs face à son prof. Mais j'ai suivi leurs directives à la lettre et elles y sont pour beaucoup dans ma réussite.
Je vous fais donc part de mon expérience à vous, jeunes mamans qui sortez tout juste de la maternité, car c'est tout de suite que cela se joue.

Les conseils :

Les biberons (un gros détail quand même :  je n'ai pas allaité, je pense qu'il est possible également de le tenter pour les mamans qui allaitent, ce sera plus compliqué mais essayez tout de même !) : il faut absolument suivre les conseils de la maternité et les espacer de deux heures le premier jour et de trois heures à partir du deuxième. Votre bébé va peut-être pleurer car il aura faim, sans doute même au bout d'une heure, peut-être moins, mais il ne faut surtout pas lâcher, c'est à ce moment là que tout se joue. Les quinze premiers jours de vie de votre bébé vont être difficiles. Il aura faim avant l'heure et hurlera. Mais tenez bon ; il faut absolument qu'à la sortie de la mater vous espaciez ses repas de trois heures. Ce sera dur mais dites vous que c'est pour son bien (et le vôtre). De toutes façons son système digestif a besoin de ce temps pour faire son travail. Essayez de divertir votre enfant, bercez le, promenez le mais ne craquez pas ! Dites vous que quinze jours ce n'est rien comparé aux mois de galère qui vous attendent si vous ne respectez pas cela.
Lorsqu'il tête, il faut qu'il boive le plus possible : empêchez le de s'endormir en le remuant doucement même si cela vous crève le coeur (pour l'avoir vécu). Je me répète mais c'est primordial si vous voulez que votre bébé ait un bon rythme, ça lui apprend rapidement à bien manger la journée car il aura du coup très faim au moment des bibs et sera rassasié pour la nuit.

Ensuite la distinction jour/nuit est, je pense, importante. Donc une lumière faible pour les siestes et le noir total (ou avec une petite veilleuse mais c'est tout) pour la nuit sont deux points à ne pas négliger. Je ne suis pas spécialement pour tout ce qui est mobile, musique et autres lumières colorées pour l'endormissement mais en même temps je n'ai jamais vraiment essayé étant donné que le calme fonctionnait très bien.

La distinction peut également se faire avec une tenue pour le jour et une pour la nuit. Chez moi les bébés sont en grenouillère jusqu'à six mois minimum. Je ne vois pas trop l'intérêt d'habiller un nourrisson avec des vêtements inconfortables comme un jean par exemple. On est tellement bien en pyjama ! Mais cela n'empêche pas de changer tout de même de tenue pour la nuit afin qu'il fasse la différence.

Le bain. J'aime bien baigner bébé le soir (il paraît qu'il vaut mieux ne pas le faire trop tard quand même, cela les énerve). Le bain permet de détendre l'enfant, de passer un petit moment au calme avec maman (ou papa) et ensuite hop, en pyj, un bib et au lit !

Et c'est tout.
De toutes façons dites vous qu'un nouveau-né "ça" pleure. On a tendance à tout de suite penser que ça vient de la faim ou des coliques mais au fond on n'en est pas surs.

Alors je vous souhaite bonne chance et surtout bonnes nuits !

* la photo n'a aucun rapport si ce n'est qu'elle a été prise au moment ou j'ai commencé l'article. 


lundi 23 septembre 2013

ma douce



Tu as 5 mois aujourd'hui et je viens de vivre les 5 plus beaux mois de ma vie. Tout est tellement facile avec toi, je n'ai pas l'impression d'avoir un tout petit bébé à la maison.

Tu n'étais pas "prévue" au programme ; en apprenant ma grossesse nous avons même songé à l'ivg. Et puis non. C'est sur qu'il nous manquerait une troisième chambre, la voiture ne serait pas assez grande, le budget encore un peu plus serré...des arguments contre on en avait une pleine liste. Mais non. Tu étais là, et même si c'était la seule chose qui figurait dans la colonne du pour, il pesait bien plus que tout le reste.

J'avais oublié le bonheur que c'était de serrer un bébé contre soi. Pourtant Tato n'a que 2 ans et elle reste elle aussi mon gros bébé. Mais toi, tu es si petite, si fragile, si sage, que l'on t'oublierait presque à coté d'une soeur un peu (trop) turbulente.

J'ai beaucoup moins de temps à t'accorder par rapport à ta soeur au même âge. C'est pour cela que nos moments que l'on partage toutes les deux, je veux être toute à toi, tu y as droit toi aussi. Tu es mon bébé d'amour, ma petite oursonne potelée que je mangerai toute crue de baisers si je le pouvais.

Tu es notre Pelope - c'est comme cela que t'appelle ta grande soeur (prononcez Peulope) - et cela te va si bien. J'ai été comblée par mon premier bébé, jamais je n'aurai pensé revivre ça de façon si intense.

Merci d'être là ma fille.

* la qualité de la photo n'est vraiment pas top, je viens de la prendre à l'instant,de mon téléphone, pendant sa sieste.

dimanche 22 septembre 2013

je me sépare de ma nounou


Pour ma Tato, deux ans et quatre mois donc, nous avons eu une nounou les deux premières années. Lorsque j'ai recherché des assistantes maternelles afin de choisir la meilleure (selon moi) pour ma fille (notez qu'elle n'avait que quatre mois lorsque j'ai repris mon travail), j'avais plusieurs exigences en tête sur lesquelles j'allais être intransigeante.
Il fallait que mon bébé soit gardé par une personne en qui j'ai entièrement confiance (évidemment), qu'elle s'y trouve en sécurité, au calme et qu'elle reçoive les mêmes soins qu'à la maison.

Mes critères étaient, je pense, on ne peut plus censés :
- elle ne devait pas fumer chez elle, ni personne d'ailleurs = pas de fumée dans la maison,
- de préférence je souhaitais une femme,
- son mari ou son compagnon, si elle était en couple, ne devait pas "trainer" toute la journée à la maison, l'idéal étant qu'il ait un travail.
J'ai donc choisi mon assistante maternelle selon ces conditions et parmi une liste assez limité. En effet, m'y étant prise tard, seules quelques unes (dans la petite ville ou j'habite) avaient encore des places disponibles.

Toujours est-il que son profil me convenait. Je n'irai pas jusqu'à dire que j'ai eu un coup de coeur en la rencontrant mais elle m'a paru être une bonne nounou. C'était l'ancienne "dame de la cantine" de l'école, elle était dynamique, souriante et gardait déjà des enfants un peu plus âgés que ma fille.
Je ne partais pas pour autant travailler le coeur léger, mais à ce moment là le problème venait de moi, je n'étais pas prête à laisser à quiconque la chair de ma chair, si petite et si fragile.

Les premières semaines débutèrent ainsi : je n'étais pas rassurée de la laisser le matin mais le travail de la nounou me convenait.
Puis j'ai commencé à remarquer des cendriers pleins de mégots dans la cuisine lorsque je déposais ma Tato. Voyant que je m'en étais aperçu elle me dit un jour que son mari n'était pas possible, qu'elle lui avait interdit de fumer dans la maison mais que de temps en temps il se le permettait quand même, quand les enfants n'étaient pas là.
Mouais...les vêtements, le doudou sentaient le tabac le soir lorsque je vidais le sac afin de préparer les affaires du lendemain.
Je suis très en colère mais je ne sais que faire. De nature assez réservée je prends sur moi et lui fais part de ma contrariété. Je suis bête mais souvent je n'ose pas dire ce que je pense. Mais là il s'agissait de mon bébé et je ne voulais pas qu'elle passe ses journées dans une maison enfumée (je n'ai rien contre les fumeurs l'étant moi aussi occasionnellement, mais jamais à coté d'un enfant). Donc là c'était dit, mais je n'ai pas vu (senti) grand changement.

Puis son mari a arrêté de travailler. Après tout il fait ce qu'il veut et avait sans doute de bonnes raisons de le faire. Mais il s'est produit ce que je craignais : ce monsieur était de longue allongé sur le canapé, la télé allumée en continu, et tout cela en caleçon et claquettes. Nous qui faisions attention à ne pas habituer notre poupette aux écrans, je retrouvais régulièrement ma fille debout, plantée devant la télé quand je venais la récupérer.
En plus, notre nounou m'appris un jour, comme ça, au détour d'une conversation, qu'elle laissait ma fille à cet homme, au mois un quart d'heure par jour afin d'aller récupérer un autre enfant qu'elle gardait en péri-scolaire.
Là c'en était trop, je vivais un cauchemar. Cet homme, qui levait à peine la tête pour me dire bonjour lorsque je venais, seul avec ma fille ! Et pourtant je n'avais pas le choix, aucune nounou dispo en cours d'année, je n'avais pas d'autre solution pour la faire garder.

Je pense que les mamans me comprendront ; laisser son enfant tous les matins dans une maison ou on ne la sent pas particulièrement en sécurité, il n'y a rien de pire. Du coup j'ai tout fait pour la laisser le moins possible. J'étais beaucoup moins disponible à mon travail car je partais le plus tôt possible, j'ai beaucoup sollicité ses grands-parents pour qu'ils me la garde chaque fois qu'ils le pouvaient. Et tout cela en continuant à payer la nounou comme avant puisque le contrat lui n'avait pas changé.

Ce calvaire a duré plusieurs mois, puis j'ai été enceinte de mon deuxième bébé. Tato est restée avec moi pendant tout mon congé maternité. Alors que j'aurai pu en profiter pour me reposer, préparer l'arrivée de ma toute petite tranquillement, j'ai préféré ne plus la faire garder tout en continuant de la payer n'ayant toujours pas de solution pour la suite. Une chose était sûre, je ne laisserai plus mes filles chez cette dame, mais comment faire ?

Et un jour, miracle ! Un courrier de la crèche m'informant que deux places étaient libres pour mes filles à la rentrée ! Quelle joie, mon inquiétude allait cesser, j'allai pouvoir reprendre mon travail sereine, la crèche étant le moyen de garde que je souhaitais.

Je n'ai rien contre les assistantes maternelles, je ne fais en aucun cas une généralité. Je trouve que c'est un métier très difficile et je suis sûre que dans 99 pour cent des cas ce sont des personnes de confiance. La mienne aussi d'ailleurs est surement une bonne nounou pour beaucoup de parents. Nous n'avons simplement pas la même visions des choses en ce qui concerne l'éducation d'un enfant.

* sur la photo c'est Tato qui est autorisée exceptionnellement à se servir de l'ordi. quelle joie j'ai pu lire dans ses yeux lorsque j'ai dit oui, elle adore faire des choses de "grand" !


samedi 21 septembre 2013

c'est une poupée...qui fait non, non, non, non, non...



Toute la journée, elle fait non, non, non, non, non...
Tout le monde connaît cette chanson je suppose. Et bien moi je l'entends en boucle en ce moment !
On me l'avait dit que 2 ans c'était l'âge des caprices, et je l'ai cru. Mais je ne pensais pas que ce serait à ce point !

En ce moment avec ma fille, celle de 2 ans justement (que j'appellerai Tato sur ce blog puisque c'est son vrai surnom, celui qu'elle s'est donné ne sachant pas prononcer son prénom) c'est caprice sur caprice, roulades par terre (chaque fois je culpabilise parce que le sol est toujours sale !), coups de pieds dans les portes, cris à faire exploser les tympans... Bref, la demoiselle a du caractère. Et c'est bien beau d'avoir du caractère, mais jusqu'à un certain point. Ici, cela relève plutôt de la dictature !

Il y a des jours ou avec son papa, on est déjà épuisés alors qu'elle n'est pas debout depuis une heure. Nous avons affaire à un petit diablotin sans scrupule ; rien à faire de réveiller sa petite soeur, de nous casser les oreilles ou de faire peur au chat ! Non, tout ce qui intéresse ce petit troll ambulant c'est de faire ce que bon lui semble (et en général ce n'est pas du tout ce que bon nous semble à nous, ses parents), d'avoir sa petite cour autour d'elle, voire à ses petits soins (et là elle en trouve des papis, des mamies, tatas et autres complices toujours prêts à lui venir en aide).

Parfois elle se met vraiment dans des états pas possibles. Son papa arrive à rester froid face à cela et garde sa ligne de conduite. Mais moi je n'y parviens pas. J'ai mal au coeur de voir ma petite fille ainsi. Elle a tellement l'air de souffrir ! Il y a très souvent un énorme décalage entre le sujet de discorde (qui part en général d'un détail de rien du tout) et la tournure que cela prend. Je suis obligée de la laisser en face à face avec son papa, pour ne pas céder, ne pas craquer et lui accorder ce qu'elle veut. Et je me dis que c'est maintenant que ça se joue, que c'est pour elle, pour son bien. Il vaut mieux qu'elle soit frustrée aujourd'hui pour un bonbon plutôt qu'elle souffre de choses bien plus graves plus tard.

C'est ce que je me dis pendant que je l'entends hurler dans la pièce d'à coté, réglant ce désaccord avec un papa intransigeant. Et puis je pense à ces mamans qui élèvent leurs enfants seules, oh combien elles doivent être courageuses et fortes.
Pas facile l'éducation d'un enfant...
Et vous, comment abordez-vous cela ?

* La photo c'est Tato à la mer. Ce jour là elle a décrété qu'elle ne poserait pas les pieds dans le sable, impossible de la faire changer d'avis...

vendredi 20 septembre 2013

sur la petite route...
























Sur la petite route, on croise des tracteurs,
Sur le petite route, on passe dire bonjour aux chevaux,
Sur la petite route, on cueille des fleurs,
Sur la petite route, on aperçoit de gros oiseaux,
Sur la petite route, on peut s'arrêter manger du raisin,
Sur la petite route, traversent plein de lapins,

Sur la petite route j'ai appris à faire du vélo,
Cette petite route c'est toute mon enfance,
Et maintenant ce sont mes filles qui flânent sur la petite route.



welcome


 Après des années de lecture d'articles dans toutes sortes de blogs je me lance dans la création du mien tant cela m'a apporté et donné envie d'en faire autant.
Je m'appelle Licorane, je suis maman de deux petites filles qui ont deux ans et quatre mois pour la première et quatre mois pour la toute petite. Mon fiancé est au top - à part lorsqu'on se dispute - également super papa. Enfin nous avons un petit dernier
(je n'étais absolument pas d'accord mais la majorité l'a emportée), un petit chat de quelques mois baptisé Chaussette.
Mon métier, je l'adore ! Il me permet d'avoir du temps pour voir grandir mes enfants, profiter de ma famille et parfois même m'occuper de moi (bon ok ça ça reste quand même exceptionnel !).
De tout cela, ainsi que d'une multitude de sujets, j'aimerai en parler avec vous. Cet univers me plaît car le partage des expériences est infini. Qu'ils soient sérieux ou au contraire futiles j'écrirai toujours mes articles avec sincérité. J'espère aussi faire de belles rencontres.

Lico